NETWORKING : COMMENT ENRICHIR SON RÉSEAU ?
Le réseautage traditionnel laisse désormais les chefs d’entreprise ou les entrepreneurs sur leur faim. Le temps est trop précieux pour être galvaudé…

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NETWORKING : COMMENT ENRICHIR SON RÉSEAU ?
Le réseautage traditionnel laisse désormais les chefs d’entreprise ou les entrepreneurs sur leur faim. Le temps est trop précieux pour être galvaudé…

Avec la fin de la pause estivale, c’est le retour des événements professionnels ! La FER a organisé sa traditionnelle Rentrée des entreprises à Palexpo, en présence du Conseiller fédéral, Beat Jans, en charge du Département de la justice et de la police. La Plateforme Climat de l’économie a convié ses partenaires à son troisième Business Lunch sur le chantier de Quai Vernets, piloté par Losinger Marazzi. Créés en 2020, en pleine pandémie, les Geneva Watch Days viennent de vivre leur sixième édition sur les quais de la cité. Chez BuxumLunic, nous avons, nous aussi, reçu plus de 150 invités dans nos bureaux, à Plainpalais, pour partager un verre et évoquer les prochains défis de la communication.
Évidemment, ces événements sont plus que de simples cocktails dînatoires où l’on sirote une coupe de champagne, tout en dégustant des petits fours : c’est une occasion pour tous ces professionnels, experts dans leur activité, de cultiver leur réseau et de nouer des liens qui peuvent, à moyen ou long terme, déboucher sur une affaire ou sur un emploi. Ce qu’on appelle, en bon français, du networking ! On ne s’appelle pas tous Donald Trump qui profite aussi souvent que possible d’un parcours de golf, chez lui, à Mar-a-Lago, pour convoquer ses partenaires et parler business, tout en perfectionnant son swing…
L’IA pour maximiser les interactions
Mais, si le réseautage consistait, par le passé, à échanger un maximum de cartes de visite, le concept a bien changé. La crise sanitaire, avec sa multiplication des formats digitaux, est passée par là : le temps est devenu trop précieux pour être mal utilisé et le perdre dans des soirées impersonnelles. L’enjeu, désormais, n’est pas simplement de participer, mais, comme l’écrit Les Échos, de « vivre une expérience qui provoque une transformation ». On ne souhaite plus seulement passer un moment agréable, on recherche « un contact, une idée, une confrontation » qui va changer quelque chose dans son parcours d’entrepreneur ou d’employé.
Le networking a dû se réinventer pour devenir plus sélectif et immersif. L’objectif ? Créer des liens à haute valeur ajoutée, en réunissant des groupes de personnes qui ont les mêmes besoins. Offrir une expérience optimisée et sur mesure pour chaque participant. L’intelligence artificielle et les technologies immersives contribuent à cette révolution : en utilisant des algorithmes de matching, en analysant les profils et les centres d’intérêt des participants, il est désormais possible, grâce à des applications comme Grip ou LookAroun, d’identifier, en amont, les connexions professionnelles les plus prometteuses et proposer des opportunités de réseautage en temps réel. On facilite ainsi les rencontres pertinentes et on valorise les retombées de l’événement en maximisant les interactions et collaborations potentielles.

Désormais, le networking doit leur permettre de rencontrer les bonnes personnes et de leur proposer des expériences immersives. Grâce à l’IA, des applications permettent de maximiser les opportunités de connexion et de faire émerger des projets concrets.
Avec la fin de la pause estivale, c’est le retour des événements professionnels ! La FER a organisé sa traditionnelle Rentrée des entreprises à Palexpo, en présence du Conseiller fédéral, Beat Jans, en charge du Département de la justice et de la police. La Plateforme Climat de l’économie a convié ses partenaires à son troisième Business Lunch sur le chantier de Quai Vernets, piloté par Losinger Marazzi. Créés en 2020, en pleine pandémie, les Geneva Watch Days viennent de vivre leur sixième édition sur les quais de la cité. Chez BuxumLunic, nous avons, nous aussi, reçu plus de 150 invités dans nos bureaux, à Plainpalais, pour partager un verre et évoquer les prochains défis de la communication.
Évidemment, ces événements sont plus que de simples cocktails dînatoires où l’on sirote une coupe de champagne, tout en dégustant des petits fours : c’est une occasion pour tous ces professionnels, experts dans leur activité, de cultiver leur réseau et de nouer des liens qui peuvent, à moyen ou long terme, déboucher sur une affaire ou sur un emploi. Ce qu’on appelle, en bon français, du networking ! On ne s’appelle pas tous Donald Trump qui profite aussi souvent que possible d’un parcours de golf, chez lui, à Mar-a-Lago, pour convoquer ses partenaires et parler business, tout en perfectionnant son swing…
L’IA pour maximiser les interactions
Mais, si le réseautage consistait, par le passé, à échanger un maximum de cartes de visite, le concept a bien changé. La crise sanitaire, avec sa multiplication des formats digitaux, est passée par là : le temps est devenu trop précieux pour être mal utilisé et le perdre dans des soirées impersonnelles. L’enjeu, désormais, n’est pas simplement de participer, mais, comme l’écrit Les Échos, de « vivre une expérience qui provoque une transformation ». On ne souhaite plus seulement passer un moment agréable, on recherche « un contact, une idée, une confrontation » qui va changer quelque chose dans son parcours d’entrepreneur ou d’employé.

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Des événements à fort impact
Ces outils technologiques ne remplacent pas, pour autant, les interactions humaines. Et, là aussi, l’état d’esprit doit être différent, afin de redonner du sens aux rencontres business : il s’agit d’être créatif au moment d’organiser son événement, ne pas se contenter de choisir le nom du traiteur ! Les Échos évoquent ainsi la trajectoire de Klozer, une société fondée en 2024 par Alexandre Siksik et Ruben Serfati à Paris, dont l’ambition est de « construire des formats sobres, exigeants, mais à fort impact ». Son premier événement ? Au Parc des Princes, avec 150 dirigeants triés sur le volet et un programme qui alterne conférences, speed dating business et atelier d’intelligence collective. L’objectif ? Faire émerger des projets concrets et créer des connexions activables.
Mais Klozer propose également des dîners plus confidentiels, à huis clos, avec des thématiques bien précises (levée de fonds, immobilier, tech) et des invités d’honneur qui viennent partager leur réalité sans filtre. Des formats qui privilégient la participation exclusive et la mutualisation d’expérience. Plus qu’un réseau, ce type de cercle devient un levier de transformation : il catalyse l’action, accélère la prise de décision et provoque parfois des choix majeurs (repositionnement, restructuration, association) au sein d’une entreprise. « Le bon format, le bon interlocuteur et la bonne discussion peuvent faire gagner des mois dans un projet stratégique », conclut l’article. Dans un monde saturé d’informations et de contenus, un chef d’entreprise, un entrepreneur, a juste besoin de faire partie des bons cercles, ceux qui bousculent, ceux qui challengent, pour obtenir une perspective différente sur son business.

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Le networking a dû se réinventer pour devenir plus sélectif et immersif. L’objectif ? Créer des liens à haute valeur ajoutée, en réunissant des groupes de personnes qui ont les mêmes besoins. Offrir une expérience optimisée et sur mesure pour chaque participant. L’intelligence artificielle et les technologies immersives contribuent à cette révolution : en utilisant des algorithmes de matching, en analysant les profils et les centres d’intérêt des participants, il est désormais possible, grâce à des applications comme Grip ou LookAroun, d’identifier, en amont, les connexions professionnelles les plus prometteuses et proposer des opportunités de réseautage en temps réel. On facilite ainsi les rencontres pertinentes et on valorise les retombées de l’événement en maximisant les interactions et collaborations potentielles.

Des événements à fort impact
Ces outils technologiques ne remplacent pas, pour autant, les interactions humaines. Et, là aussi, l’état d’esprit doit être différent, afin de redonner du sens aux rencontres business : il s’agit d’être créatif au moment d’organiser son événement, ne pas se contenter de choisir le nom du traiteur ! Les Échos évoquent ainsi la trajectoire de Klozer, une société fondée en 2024 par Alexandre Siksik et Ruben Serfati à Paris, dont l’ambition est de « construire des formats sobres, exigeants, mais à fort impact ». Son premier événement ? Au Parc des Princes, avec 150 dirigeants triés sur le volet et un programme qui alterne conférences, speed dating business et atelier d’intelligence collective. L’objectif ? Faire émerger des projets concrets et créer des connexions activables.
Mais Klozer propose également des dîners plus confidentiels, à huis clos, avec des thématiques bien précises (levée de fonds, immobilier, tech) et des invités d’honneur qui viennent partager leur réalité sans filtre. Des formats qui privilégient la participation exclusive et la mutualisation d’expérience. Plus qu’un réseau, ce type de cercle devient un levier de transformation : il catalyse l’action, accélère la prise de décision et provoque parfois des choix majeurs (repositionnement, restructuration, association) au sein d’une entreprise. « Le bon format, le bon interlocuteur et la bonne discussion peuvent faire gagner des mois dans un projet stratégique », conclut l’article. Dans un monde saturé d’informations et de contenus, un chef d’entreprise, un entrepreneur, a juste besoin de faire partie des bons cercles, ceux qui bousculent, ceux qui challengent, pour obtenir une perspective différente sur son business.